Si vous avez été résilié par votre précédent assureur, vous pouvez rencontrer des difficultés pour trouver une nouvelle assurance auto. En effet, les compagnies d’assurance considèrent les conducteurs résiliés comme des profils à risque, et peuvent donc vous refuser leur couverture, ou vous proposer des tarifs très élevés. Heureusement, il existe des solutions pour retrouver une assurance auto adaptée à votre situation. Voici quelques conseils pour vous aider à choisir la meilleure assurance auto quand on a été résilié.
Tournez-vous vers les assureurs spécialisés
Il existe des compagnies d’assurance qui se sont spécialisées dans l’assurance auto des conducteurs résiliés. Elles proposent des offres adaptées à chaque situation, que vous ayez été résilié pour non-paiement, pour sinistre, ou pour aggravation du risque. Ces assureurs sont plus tolérants que les assureurs classiques. C’est le cas de SOS Malus.
SOS Malus : une assurance pour les malussés
SOS Malus est un assureur dédié aux conducteurs résiliés. Avec sa plateforme dynamique et fluide, elle propose des solutions abordables et de qualité à tous les conducteurs en difficulté. Vous avez été résiliés ou malussés ? L’assurance pour résiliés, SOS Malus, s’engage à vous accompagner en vous permettant d’obtenir instantanément une assurance. Le processus pour cela est très simple : il vous suffit d’effectuer votre devis en ligne. Une fois le devis effectué, vous pouvez être assuré instantanément et votre carte verte vous sera envoyée par mail dès la validation du contrat.
Contactez des assureurs classiques
Si vous avez été résilié pour un motif léger, comme un retard de paiement ou un sinistre non responsable, vous pouvez tenter de négocier avec un nouvel assureur pour obtenir une réduction de la surprime ou une réintégration du bonus-malus. Vous pouvez également faire valoir vos atouts, comme votre ancienneté de permis, votre fidélité à votre assureur ou votre faible kilométrage annuel. Mais attention, il est conseillé de faire jouer la concurrence et de comparer les offres d’assurance auto disponibles sur le marché. Pour cela, vous pouvez utiliser un comparateur en ligne, qui vous permettra de trouver l’assurance auto la moins chère et la plus adaptée à votre profil. Vous devrez renseigner vos informations personnelles, les caractéristiques de votre véhicule, et le motif de votre résiliation. Vous obtiendrez alors des devis personnalisés que vous pourrez comparer en fonction du prix, des garanties et des franchises.
Faites appel au Bureau central de tarification (BCT)
Si vous ne trouvez pas d’assureur qui accepte de vous assurer, ou si les tarifs proposés sont trop élevés, vous pouvez faire appel au Bureau central de tarification (BCT). Il s’agit d’une autorité administrative indépendante qui a pour mission de fixer le montant de la prime d’assurance que doit payer un conducteur résilié. Pour cela, vous devez envoyer au BCT une demande écrite accompagnée du devis le moins cher que vous avez obtenu, et d’une copie de votre permis de conduire. Le BCT fixera alors le montant de la prime que l’assureur que vous avez choisi devra vous appliquer.
Quelles sont les causes d’une résiliation d’assurance ?
Chercher un nouvel assureur c’est bien, mais vous gagnerez à connaitre les raisons qui peuvent pousser votre assureur à résilier le contrat. Les motifs les plus répandus sont les suivants :
- Le non-paiement des cotisations: si vous ne payez pas vos primes d’assurance dans les délais impartis, votre assureur peut mettre fin à votre contrat.
- L’aggravation du risque: si vous modifiez votre véhicule sans en informer votre assureur, ou si vous commettez des infractions graves au Code de la route, votre assureur peut estimer que le risque que vous représentez est trop élevé.
- Le sinistre: si vous êtes responsable d’un accident de la route ou si vous subissez un vol ou un incendie de votre véhicule, votre assureur peut décider de résilier votre contrat.
- La volonté de l’assureur: votre assureur peut également résilier votre contrat sans motif particulier, à condition de respecter un préavis de deux mois avant l’échéance annuelle.